Pain du jour

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•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes enfants, j’avoue que je ne saurai quoi vous dire de plus sur l’intimité, que ce que vous avez déjà reçu de la part de votre serviteur Enoch. Toutefois la répétition étant pédagogique, je vous ferai un bref résumé de l’intimité avec moi.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes intimes, mes précieux, mes extensions, mes guerriers, mes trésors ne laissez pas un petit ver de terre détruire le précieux fruit que vous avez, mais prenez-en plutôt soin. Ne laissez aucun voile couvrir la lumière que j’ai mise en vous, mais recharger-la afin qu’elle puisse luire d’avantage.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes intimes, mes soldats, la grâce de me connaître est à la portée de tout chrétien qui ne se base pas sur ces connaissances théologiques, bibliques et expériences, mais qui reconnaît sa petitesse, sa dépendance, sa pauvreté spirituelle, son origine, et surtout qui comprend que sans passer par mon Fils, il ne saura me connaître réellement : “Toutes choses m’ont été données par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père; personne non plus ne connaît le Père, si ce n’est le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler”. Mat 11:27.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes intimes, une chose qui ne peut passer inaperçue c’est mon amour pour vous. C’est la première chose à savoir de votre créateur. Oui mes enfants, je sais que je vous le déclare chaque jour et je vous le prouve à chaque instant, mais sachez que mon amour pour vous est grand et inconditionnel. C’est facile d’apprendre à connaître celui qui vous aime de tout son cœur, et vous accepte tel que vous êtes, et moi je suis divinement et saintement amoureux de chaque composante de ma création. Oui je vous accepte qu’importe votre passé, qu’importe la douleur de votre voile, qu’importe la vilenie de vos actions, qu’importe le degré de votre endurcissement, les rejets et trahisons, qu’importe la profondeur de vos blessures, la pourriture que vous incarner, etc… je vous ai toujours aimé et je vous aime encore et encore chaque jour un peu plus. Mes enfants, “Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos” Matthieu 11:28. C’est la preuve de mon amour et c’est la clé de la vraie connaissance.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes intimes, mes enfants, après avoir reçu les notions de base de ma parole, et surtout après avoir compris que je suis amour et que vous devez l’être aussi, vous devez pouvoir grandir dans cette connaissance que vous avez de moi.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes princes et princesses, le sujet de la restauration est tout d’abord important, en ce sens qu’il fait partie intégrante de votre marche chrétienne. La restauration n’est rien d’autre que le rétablissement de votre être, la guérison de l’âme, le pansement de vos blessures, la remise en bon état, le retour à votre pureté etc… Mes enfants, le processus de restauration de l’âme est cette procédure spirituelle dirigée par moi-même ou mon Fils, qui vise à régénérer cette part de moi qui avait été détruite par votre chair, le malin. Dans ma parole, vous avez sûrement lu et médité sur mes grands serviteurs qui ont été restaurés : David, Job, Joseph etc…. Oui la restauration vous ramène non seulement à votre état initial de pureté, mais bien plus. Mes trésors, sachez que, comme un être humain malade se rend à l’hôpital, la restauration est un choix qui doit venir de vous ; c’est vous qui décidez directement ou indirectement d’être restauré, en ne vous conformant pas à ce siècle mais plutôt à ma volonté et ma parole. Vous prenez cette décision lorsque vous décidez de nous suivre et d’abandonner les œuvres de la chair, et tous autant que vous êtes, votre êtes encore en phase de restauration. Mes précieux, que puis-je vous demander d’autre si ce n’est votre abandon? Sachez que tout processus de restauration peut être accélérer ou bloquer par votre volonté. Oui, en me laissant complètement transformer d’abord votre être intérieur, par le renouvellement de l’intelligence, c’est-à-dire en laissant complètement mon Esprit agir en vous, vous commencez par discerner mes voies, mes pensées, etc; et donc, il vous est plus facile d’obtenir la guérison totale de votre âme.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR :

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes intimes, mes enfants, mes trésors, rejetez tout ce qui vous éloigne de moi. Oui vous avez ma vie en vous, mon esprit en vous, et cela vous suffit largement pour discerner ce qui ou pas vous éloigne de moi. Qu’importe cette chose, essayez de vous en débarrasser, de vous briser. Oui il vous le faut, afin que je sois au centre de votre vie. Débarrassez-vous de toute poussière de votre vie, balayez votre vie afin qu’elle soit propre pour moi, ou laissez-moi vous aider à le faire. Délivrez-vous de tout piège d’attachement, car je vous rappelle que mon royaume ne connait ni père, ni mère, ni frère, ni sœur, ni ami, ni confident, ni voiture, ni maison, etc…. ce que je regarderai c’est simplement la qualité de votre vie, le respect de ma parole, et c’est chacun face au jugement. Comprenez cela. Oui le salut est personnel, cependant vous devez être un exemple, au risque de ne pas être une pierre d’achoppement pour vos frères, et de mieux les aider à s’y préparer aussi.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes intimes, mes enfants, pour être sincère, c’est avec un cœur saignant que je vous parle encore du “moi” ce matin. Normalement vous ne devrez plus être à ce niveau. Le “moi” est l’un des éléments qui constituent votre vieil homme; votre ancienne personnalité. Il est basé sur votre vie,  les expériences vécues, vos raisonnements etc… C’est cette partie de vous qui est en accord aux œuvres de la chair, qui veut contrôler son environnement extérieur, qui veut être en conflit permanent avec les principes moraux, les bonnes mœurs et surtout les recommandations bibliques. Oui vu de cette façon, vous mes intimes allez dire que vous n’avez plus de “moi”, et je vous signale qu’aucun de vous, je dis bien aucun de vous ne s’est encore totalement débarrassé de ce “moi”. Spirituellement, le “moi” est cet habit noir que vous portez et qui éteint votre lumière ou l’empêche de bien luire. Et c’est principalement à cause de cet habit que je m’abstiens de vous donner certaines révélations. Mes enfants, le “moi” est directement relié à l’orgueil; vous comprenez maintenant ma douleur, notre profonde déception de voir qu’il est toujours au milieu de vous et sur vous? C’est par l’orgueil que tous les œuvres de la chair trouvent  place. Pensez-vous être si purs? Non vous êtes trop loin de la réalité. Que puis-je vous dire d’autre que je n’ai encore dit. Le “moi” limite vos grâces. Si avec le minimum de grâce que vous avez, vous manquez cruellement d’humilité, alors pourquoi vous donnerai-je de plus ?

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes enfants, Le dépouillement n’est rien d’autre que le renoncement au monde. Se dépouiller du vieil homme revient à abandonner cette nature corrompue, se défaire ou se détacher de son ancienne personnalité. Et vous devez vous dépouiller de cette ancienne personnalité, pour être revêtu de la nouvelle, celle qui symbolise ma vie en vous, la nouvelle vie. Oui, quand je vous reproche le manque de dépouillement total, c’est simplement parce-que vous avez encore une partie de vous que vous gardez, ne permettant à personne de vous l’enlever, même pas à Moi, car je respecte votre libre arbitre. Mes enfants, on ne saurait porter un habit propre sur un habit sale, on ne saurait même pas le mettre si on ne se lave, et on ne peut  mélanger de l’eau propre à de l’eau sale; les deux seront sales et imbuvables, mais c’est plus sage par exemple d’enlever l’habit sale, de se laver avant de mettre celui neuf ou de nettoyer complètement le récipient d’eau sale et ensuite de verser de l’eau propre. Et c’est ce que je vous demande de faire. Videz-vous de cette personnalité souillée que vous avez cultivée et développée pendant tant d’années, et laissez-moi vous donner une personnalité sans laquelle vous ne pouvez accomplir votre mission. Mes petits trésors, j’ai besoin que vous me remettez tout de vous, même les pensées les plus minimes, les principes, les rêves, tout, absolument tout de vous, car je comblerai l’espace que vous me donnerez, et j’espère combler tout l’espace de votre vie. Mes enfants je ne vous demande pas de rincer simplement votre récipient, mais je vous demande de bien le laver afin de recevoir l’eau de vie. Dépouillez-vous mes enfants, qu’il ne reste rien de votre ancienne vie pour rivaliser avec celle Nouvelle. Je n’attends que vous pour vous restaurer complètement, pour vous laver, vous habiller et vous remplir. Au cours de cette journée, méditez sur cette partie de votre vieil homme qui demeure toujours attaché à vous, et dès que vous l’aurez détecté, venez en ma présence pour être traité. Soyez divinement bénis et restaurés mes intimes.

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes intimes, mes précieux, mes trésors, mes soldats, mes guerriers, mes princes, mes princesses, mes extensions, mes anges, mes petits êtres, mes étincelles, tellement de noms que je vous donne mes précieux trésors car je veux que vous atteignez ce niveau d’être UN avec moi, avec nous. Cependant vous ne pouvez y arriver sans un brisement complet. Le brisement n’est rien d’autre que le fait de se dépouiller, de laisser détruire son ancienne vie, pour une vie plus meilleure. Tout bon chrétien doit passer par le brisement et vous le savez déjà. Je dois pouvoir vous détruire afin de vous reconstruire, sans quoi vous ne saurez être parfait à mes yeux. Le premier brisement est celui de l’orgueil, du moi. Mes intimes, le brisement peut se faire de façon personnelle et volontaire ou de façon obligatoire. Personnelle et volontaire car vous pouvez décider librement de vous briser et prier afin d’avoir le discernement de toutes les œuvres de votre chair à assujettir. Obligatoire parce que je m’occuperai personnellement de vous briser et vous n’avez d’autre choix que de subir. Mes enfants, je dois vous vider de votre ancienne manière de vivre, de vos souillures, des barrières et nœuds créés afin de vous laver, défaire les nœuds, détruire les barrières pour vous porter l’habit de fête afin que vous soyez prêts pour la fête. Mais grande est ma peine, quand je remarque que vous n’arrivez pas à utiliser toute occasion pour vous briser. Le brisement est continue et ce jusqu’à ce que vous ayez cette statut parfaite dont j’ai besoin. Mes amours, le brisement revient à se rééduquer. Je vous donne quelques exemples : Un intime trop attaché à son portable par exemple au point de m’adresser à peine la Parole. Je pourrai le briser en détruisant simplement le portable. Le simple chrétien dira que c’est L’ennemi mais le chrétien réfléchi comprendra que c’est simplement une occasion de brisement. Un autre exemple d’un chrétien dont le corps devient son dieu ou idole; il est tellement fier de son corps, Je pourrai permettre qu’une plaie ou un abcès l’atteigne pour qu’il comprenne qu’en réalité son corps n’est qu’une enveloppe. Cependant plusieurs chrétiens n’aiment pas les petits brisements mais préfère celui de Job : détruire ou tout perdre avant de se laisser briser, et je ne vous conseille pas d’en arriver là, car vous n’avez plus le temps de tricher. De la même manière qu’il faut creuser ou détruire le sol avant de poser les fondations, de cette même manière, je creuse en vous pour poser ma fondation. À chaque fois que vous avez un mauvais pincement au cœur, sachez qu’il vous reste encore à faire. De petits détails ne doivent plus être parmi vous et vous devez vous adapter à toutes les situations car votre mission le demandera. Et que celui qui croit être complètement parfait ou brisé regarde encore sa copie ou son habit afin de voir les tâches qui s’y trouvent. Aucun péché, aucune œuvre de la chair ne doit être cité en chacun de vous, car ce sont de petites portes ouvertes à l’ennemi. La bonne nouvelle de cette étape décisive dans votre vie chrétienne, c’est que le brisement est plus rapide par la manifestation de l’amour. L’amour pur et vrai qui accepte tout, supporte tout, s’humilie, rend service, sincère. À travers ce fruit, vous pouvez facilement vous laissez briser ou vous auto brisé. Et sachez que, tout chrétien rencontre toujours un handicap qui vous permet de rapidement vous reprendre. “J’aime et je reprends ceux que j’aime” Ap 3:19. Ah oui, je peux correctement vous châtier quand vous faites mal, car à vous l’erreur ne doit pas être permise. Vous êtes Leaders. Je vous aime infiniment mes amours. Votre tendre Père

•AINSI DIT LE SEIGNEUR : Mes enfants, la patience est ce fruit de L’ Esprit qui vous permet de supporter les situations les plus complexes, les injures et injustice… C’est ce fruit qui vous donne une certaine tranquillité et une paix attendant sans aucune pression toute situation qui viendra. C’est aussi ce fruit qui vous permet d’attendre simplement et sagement le résultat. Mes enfants, c’est cette patience que je veux que vous cultiviez. La patience divine est simplement la capacité de supporter vos péchés les plus ignobles, espérant qu’un jour, vous reviendrez à la maison. Avez-vous conscience de ce que je supporte ici ? Je vois ce que vous voyez, j’entends ce que vous entendez, vous m’exposez comme étant sans valeur, vous murmurez contre moi, vous commettez l’impudicité et tous les péchés du monde et je suis là supportant chaque faux pas, chaque injures de votre part. Et quand vous décidez de venir à moi, je suis encore la première personne à vous accueillir de tout mon cœur, vous lavant de toutes vos souillures. Regardez ma patience envers chacun de vous. Même pour laisser un seul péché, vous êtes prêt à passer toute une année, parfois deux ou dix, m’obligeant à vous supportez simplement. Mes précieux enfants, cultivez cette patience, car vous en aurez besoin pour sauver des âmes. Vous aurez besoin d’avoir tout le temps la main tendue, même si cette âme vous accable de toutes les injures du monde. Même votre patience doit pouvoir confondre la sagesse des sages, et c’est ce fruit que je demande le plus de cultiver, car l’homme est naturellement impatient. Méditez sur la patience de vos pères dans la foi, méditez sur la vie de votre Sauveur, et apprenez à être plus patient.  Je vous rappelle que la patience sans amour est vaine, nulle….

•AINSI DIT LE SEIGNEUR :

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